Berlin et la ferveur

Quand j’entends certains politiques prétendre que la victoire de Macron est celle d’une révolution politique, j’ai envie de m’arracher les cheveux. Ces gens-là n’ont à l’évidence rien compris. Macron n’a pas gagné pour ses idées : il n’a fait que profiter d’une situation de délabrement de la classe politique. Car quantité d’électeurs ont voté pour lui plus par défaut qu’autre chose ! A preuve : il y a peu, je suis allé à Berlin pour un colloque où j’en ai discuté avec quelques participants. Et pas mal avaient tout comme moi l’intention de voter pour Macron. Qui plus est, plus ou moins pour les mêmes motifs que les miens ! Tout d’abord, pour faire barrage à Fillon. L’ex-premier ministre a montré sa face véritable tout au long de cette campagne. Ce ne sont pas les affaires qui l’ont ruiné, à mon sens : c’est sa personnalité. Avec ses réactions complotistes et populistes, il a révélé quel type d’homme il était vraiment : un homme parfaitement despotique dans l’adversité, incapable d’écouter son entourage. Cet homme a agi contre les intérêts de son parti tout du long, et continue, aujourd’hui encore, à penser qu’on lui a volé son élection : alors que c’est lui seul qui se l’est volée !
Ensuite, il ne faut pas sous-estimer l’importance du vote utile, qui a fortement joué : pas mal de mes collègues souhaitaient empêcher la victoire de l’extrême-droite. Pour ne pas terminer comme les anglais, dont beaucoup ne mesurent pas encore l’impact de leur Brexit. Il a donc fallu éliminer d’emblée les candidats les moins favorisés : la droite, détruite par un candidat faisant l’autruche ; et la gauche, fragmentée comme jamais dans son histoire.
En vérité nombre d’électeurs, au nombre desquels je suis, ne souscrivent pas le moins du monde au programme économique d’EM. L’homme est tout de même dans la continuité de François Hollande, qui a la côte de popularité qu’on lui connaît : ce qui n’est pas franchement rassurant quant à l’avenir. La seule idée qui me séduit chez Macron, finalement, c’est l’idée qu’il se fait de l’Europe. A une période où cette idée est discutée et critiquée de chaque côté de l’hémicycle, il était impératif que le futur président français défende sans ambiguités les prétentions européennes.
Sinon, ce colloque m’a permis de souffler un peu et m’a fait du bien : les animations étaient vraiment excellentes. Voilà l’agence qui nous l’a mijoté, si vous voulez jeter un coup d’oeil. Davantage d’information sur l’organisation de séminaire à Berlin en surfant sur le site de l’organisateur.

La philosophie économique

Le choix des mots : comment appeler l’interaction entre philosophie et économie ? V. Y a-t-il une tradition francophone en philosophie économique ? V.1. Des traditions distinctes en philosophie économique ? I.1. Le principe d’utilité : une conception publique de la justice ? Chapitre 2 « L’économie du bien-être est morte. » Vive l’économie du bien-être ! Chapitre 3 Économie de l’égalitarisme libéral. III.2. …ou égalisation de la « liberté réelle » de chacun ? IV.1. L’économie du principe de différence : suite et fin ? I. La justice entre générations fait-elle sens ? II. Quelles obligations avons-nous à l’égard des générations futures ? III. Comment mettre en œuvre la justice intergénérationnelle ? II.1. Pourquoi évaluer l’environnement ? Introduction. Entre observation méthodique et analyse conceptuelle : une opposition ? I.1. Les conceptions épistémologiques concernant les modèles scientifiques et analyse conceptuelle : une opposition ? II.2.3. Quelle est l’interprétation dominante de la théorie ordinaliste ? II.3.1. En quel sens peut-on « se passer » d’une utilité cardinale ? III.4.2. Quel usage faire de la TPR ? I. Des agents rationnels, mais en quel sens ? VI. Que reste-t-il de la rationalité en économie évolutionniste ? I.1. Efficacité ou efficience ? IV.1. Un énoncé performatif ? La position de ceux qui demandent l’accueil des réfugiés n’est pas seulement fondée sur des images ou sur l’émotion. Elle est, tout autant, appuyée par des analyses «précises, argumentées, savantes». Onfray se lance ensuite dans une diatribe contre ceux qui taxent de «réactionnaires» la géostratégie, la démographie et l’histoire. Mais qui sont ces procureurs ? Nul ne le sait. Qui a qualifié la démographie ou l’histoire de «réactionnaire» ? Ni Libération, ni le Monde, ni la Croix, ni France 2, ni France Inter, ni aucune radio connue, qui diffusent souvent, de surcroît, des émissions historiques de bonne qualité. Y a-t-il une citation, un document, un article, qui vienne à l’appui de cette affirmation ? Dans un procédé bien connu, Onfray attribue à des adversaires qu’il ne nomme pas des propos idiots qu’ils n’ont pas tenus et qu’il lui est ensuite d’autant plus facile de réfuter. Les polémistes usent souvent de cet artifice, destiné à se donner le rôle avantageux de celui qui revient au bon sens et à l’intelligence face à la stupidité dogmatique de ses adversaires. Est-il possible de réagir à l’actualité chaude en conservant le recul de la philosophie? Pourquoi le philosophe n’aurait-il pas les qualités de l’urgentiste, du chirurgien de guerre, du secouriste sur les lieux d’un accident ? Oui, absolument. Pourquoi le philosophe n’aurait-il pas les qualités de l’urgentiste, du chirurgien de guerre, du secouriste sur les lieux d’un accident? Et puis il est drôle qu’on se demande si un philosophe peut penser à chaud quand le moindre quidam commente la moindre actualité en ne s’autorisant que de lui! Ou qu’on permet au journaliste de réagir à chaud. Si le philosophe a derrière lui un travail de réflexion sur les sujets sur lesquels il s’exprime, il est habilité à parler. La rentrée télé est dominée par le face-à-face entre Yann Barthès et Cyril Hanouna. Que cela vous inspire-t-il? Les médias parlent des médias, c’est leur affaire. Il y a plus important à penser, me semble-t-il. Dans les colonnes du Figaro, vous déclariez: «Vouloir ressembler à Serge Reggiani ou à Yves Montand, c’est tout de même moins déshonorant que vouloir ressembler à Cyril Hanouna! Vous connaissez ce proverbe chinois : « Quand le sage montre la lune, l’imbécile regarde le doigt». Nous commençons de façon expérimentale. Il n’existe aucune WebTV de ce type à cette heure me dit-on. On a annoncé sur France Culture que « Michel Onfray lançait son web média… comme Soral et Dieudonné ». Ce qui renseigne sur le degré de perfidie … du service public ! Ce projet s’inscrit-il en réaction au système médiatique actuel? Celui-ci est-il trop uniforme? Oui, bien sûr. Le système médiatique est aujourd’hui digne des systèmes les plus idéologiquement intolérants. Vous avez déclaré souhaiter «reprendre en main de façon libertaire et non libérale l’information». Les médias véhiculent-ils une idéologie dominante? L’idéologie dominante ne sépare plus la droite de la gauche, mais les libéraux d’État de droite et de gauche. Oui, bien sûr. Du moins les médias de masse et la totalité du service public qui est franchement à la botte du pouvoir d’État. Bientôt, le risque pour un voyageur d’oublier sa valise ou de se la faire voler sera quasiment nul, grâce à des notifications reçues sur son smartphone si quelqu’un tente de l’ouvrir. Encore un acronyme, un de plus, inventé par IATA, l’Association internationale du transport aérien : la “NDC” ou New Distribution Capability (Nouvelle Capacité de Distribution). Ce nouveau programme vise à moderniser la présentation de l’offre de services d’une compagnie aérienne auprès des agences de voyages. Ce qui permet à l’agence de proposer au client un vrai produit à la carte et d’effectuer des comparaisons linéaires entre compagnies. “La NDC est une évolution pro-consommateur, un véritable bond dans l’innovation. La NDC va donc permettre de proposer l’offre et la tarification des compagnies aériennes de manière transparente. Selon une enquête IATA, plus de 75 % des passagers plébiscitent ce système pour la clarté de comparaison des prix et des vols, ainsi que dans la construction du tarif aérien (tarif et taxes par exemple). En outre, 68 % des voyageurs apprécieraient également d’être informés par leurs agences d’options de services supplémentaires avant le vol. 70 % d’entre eux avoueraient même être tentés d’acheter ses services optionnels s’ils obtiennent les informations nécessaires. C’est ainsi qu’on apprend à penser à l’Ecole normale supérieure! Censurons ces Gilets jaunes à la télévision, demandons à France-Culture comment on s’y prend pour interdire de parole sur les radios du service public, et faisons taire cette racaille populiste, crypto-fasciste, lepeniste, vichyste, pétainiste, nazie -ne nous interdisons rien! Que BHL soutienne Macron, il n’y a rien là que de très normal. Avec Stéphane Bern et les Bogdanoff, Line Renaud et Philippe Besson, ce qui se faisait de mieux chacun dans son domaine a offert ses courbettes au Prince. Il y en eut de plus malins qui vinrent manger la soupe payée par le contribuable à Bercy, qui servait à préparer la présidentielle. Enfin, que BHL soutienne “la fiscalité écolo”, comme son ami Cohn-Bendit, n’est pas non plus étonnant: il reprend l’élément de langage qui voudrait que ces taxes aillent à la fiscalité verte alors qu’elles vont majoritairement dans les caisses de l’Etat. Pour salir les Gilets jaunes, des journalistes et des éditorialistes affirment qu’ils refusent la fiscalité, qu’ils sont contre les taxes, qu’ils refusent les impôts, qu’ils rechignent à payer des taxes écologiques. On peut lire en effet dans L’Obs (5 juillet 2017): “J’ai trop de maisons dans le monde”: Bernard-Henri Lévy se résout à vendre une de ses villas pour 6 millions d’euros. Lisons cet article: “Trop d’argent, pas assez de temps. Il devient en 1995 directeur de cabinet de Tony Dreyfus, alors maire du 10e arrondissement de Paris. Christophe Castaner se présente en 2001 à la mairie de Forcalquier. Il gagne face au maire sortant, Pierre Delmar (RPR). ]. Le 11 avril 2014, son vice-président, Pierre Garcin, lui succède à la présidence de la communauté de communes de Forcalquier et montagne de Lure. ] mais reste conseiller municipal de cette ville. En 2004, alors élu au conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur (PACA), il se voit confier par le président Michel Vauzelle la délégation de l’aménagement des territoires. Pour la première fois, cette importante responsabilité échoit à un « alpin » , qui plus est, le plus jeune des vice-présidents de la région PACA. Il est réélu en 2010 et chargé d’une nouvelle délégation : emploi, économie, enseignement supérieur et innovation. En février 2015, les adhérents socialistes désignent Christophe Castaner comme tête de liste pour les élections régionales en Provence-Alpes-Côte d’Azur, face à Patrick Allemand et Elsa di Méo. Au contraire, un contrat léonin a toutes les chances d’être imposé par une des parties à l’autre, ce qui est contraire au principe fondateur du libéralisme. D’ailleurs, toute personne de bonne foi possédant une culture minimale en philosophie politique conviendra que libéral et autocratique sont des termes antinomiques. En regardant le fond au lieu de s’arrêter aux mots, on voit que Michel Onfray défend une position typiquement libérale, tout en utilisant le terme libéral pour désigner le contraire du libéralisme, qu’il préfère appeler libertaire. Un sommet dans la confusion et le n’importe quoi ! Je défends une autogestion girondine qui suppose que le pouvoir soit exercé directement en assemblées par les citoyens, sans passage par une figure providentielle. Le libéralisme est une application complète de ce principe, où chaque individu-citoyen, pour ce qui le concerne lui et lui seul, exerce le pouvoir à son propre niveau sans qu’une quelconque assemblée lui dicte sa conduite. En matière collective, il peut adhérer librement à des associations qui visent les buts que lui-même se propose.

Macron au Top?

Emmanuel Macron a affirmé vouloir contrôler tel que le dieu romain Jupiter, tout en restant attentif aux problèmes quotidiens des gouvernements. Mais moins de 90 jours après le début de son mandat, les chiffres de son sondage montrent à quel point il est mortel. Un sondeur structuré par You.K., YouGov, a noté une chute en six étapes du classement des endossements des nouveaux dirigeants, qui est passé de 43% à 36% par rapport au mois de juillet. Le sondeur français Ifop a observé une chute identique sur la même période, rappelant que: «Mis à part Jacques Chirac en juillet 1995, un directeur récemment élu n’a jamais vu son niveau d’acceptation baisser aussi facilement en été, juste après les élections politiques. «La baisse de popularité peut être un changement radical par rapport au mois de juin, lorsque les deux Macron avec son excellent ministre fantastique, Édouard Philippe, ont découvert que leurs scores en matière d’autorisation étaient passés de 62 à 64% et de 55 à 64%, en conséquence. Cependant, le montant de la réputation n’est pas entièrement hors norme. L’ancien directeur général, François Hollande, a apprécié l’approbation de 56% au même stade de sa présidence; son prédécesseur Nicolas Sarkozy était plus grand, avec 66%. Le plus inhabituel est peut-être simplement combien de temps l’acceptation de Macron a été gérée. Sa présidence a profité de plusieurs avantages au début, notamment des réunions importantes avec des dirigeants inconnus, par exemple le président Trump (tous deux engagés dans une célèbre poignée de main dont Macron a admis par la suite qu’il était censé révéler qu’il ne ferait pas de concessions) et le président russe Vladimir Poutine (à travers lequel Macron a publiquement accusé les médias européens d’être «des agents d’effet et de propagande»). Même si ce type de conférences a évoqué le récit diplomatique de Macron (la France a été classée meilleure énergie douce du monde dans un questionnaire annuel, dépassant à la fois le dollar américain et la Grande-Bretagne), elles permettent de calmer les inquiétudes domestiques. Le politologue de l’Ifop Jérôme Fourquet a expliqué que la fanfare entourant Trump et les voyages de Poutine avaient été réalisés avec colère contre le grand public français, avec qui aucun des deux dirigeants n’était connu. Mais il a également attribué la baisse de popularité de Macron à son désir de revaloriser la règle du travail dans le pays, ainsi qu’à la réduction de 850 millions d’euros qu’elle avait offerte aux finances de la défense de cette année, un déménagement qui a entraîné la démission de Common Pierre de Villiers, chef de l’armée française. «Il a milité sur l’idée de perdre du poids pour le statut de français et de le rendre finalement plus compétitif», m’a confié le Dr David Lees, spécialiste du Warwick College spécialisé dans la politique nationale française. « Ces choses vont confirmer leur impopularité, car elles impliquent un grand bouleversement de la manière dont la France organise son organisation ». Ce bouleversement consiste notamment à réduire d’un tiers le nombre de législateurs français, à minimiser les investissements publics et à employer une variété de marchés. réformes financières agréables (comme les nouvelles politiques qui donnent aux employeurs une plus grande flexibilité d’utilisation et de possibilité de chauffer les foyers).

6 heures avant l’attaque

Le lieutenant Kurt Rhinehimer était l’un des RIO pépites nouvellement arrivés des As. Le skipper la parole l’avait rendu nerveux. Le soir de la réunion, il écrivit dans un journal qu’il avait décidé de garder pour sa femme: Oui, j’ai peur. Je pense que tout le monde est. C’est très différent de l’Irak. En Irak, le le terrain est très plat avec nulle part [pour l’ennemi] pour se cacher…. Dans la RFY [ancienne Yougoslavie], les SAM [missiles sol-air] sont partout. Ils [les Serbes] sont bien meilleurs et plus intelligents. Je suis formé pour ça depuis 3 ans et demi mais je n’ai jamais vraiment pensé que l’on me tirerait dessus. Le diplômé de l’Académie navale n’était marié que depuis quatorze jours lorsque le Roosevelt a quitté Norfolk et sa nouvelle épouse lui manquait clairement: Je regarde nos photos de mariage [prises] il y a moins de trois semaines. Qui serait avez-vous imaginé que je serais au combat maintenant? Je pense que la plus grande chose dont j’ai peur ne pas être là pour vous à l’avenir et ne pas avoir d’enfants. Je pense que c’est mieux que nous ne faisons pas. J’espère que si quelque chose m’arrivait que vous vous remarieriez si c’était ce qui vous rendrait heureux. Mais Rhino, comme l’avait baptisé son nouveau coéquipier, n’était pas prévu pour voler sur la première grève. La décision avait été prise que l’équipe A, composée essentiellement de nior, des officiers expérimentés et quelques JO de deuxième croisière voleraient dans les premières vagues. Une fois que la direction de l’escadron sut à quoi elle était confrontée, maîtrisa le combat, et ils le jugeaient opportun, ils commenceraient à programmer des missions pour les moins expérimenté. Bien que Rhino ait été considéré comme l’un des meilleurs arrières étudiants Aucoin et Wog, son nouveau cours de formation sur le F-14, qui, en tant qu’O Ops O, établi les horaires de vol réels, savait qu’ils ne l’enverraient pas en mission. chauve-souris bientôt. Ce n’était pas le cas du lieutenant principal James Greg DeGruccio, âgé de 31 ans. JO de deuxième croisière qui était venu aux As après une année avec le Black Lions VF-213. « Gooch », comme il était signé dans l’escadron, passa de sérieuses heures à Tomcat pour un JO, et devait être l’un des bombardiers de la première nuit – seulement il ne le savait pas. Comme DeGruccio le dit, juste après l’AOM, Joey, son skipper, s’est approché de lui la salle de travail et dit quelque chose comme: «Hé, comment vas-tu? ESt ce que ça va,' » ce à quoi Gooch a répondu: «Je suis un peu inquiet», mais a ajouté que c’était «« Pas de gros problème. « , faisant allusion à la décision de n’utiliser que les hommes les plus expérimentés. «Je suis pro- ne pas y aller les premiers jours. »Mais Aucoin, le dit-il, le surprit. «Non», dit-il, le skipper le lui a dit. « Vous partez demain. » À la mémoire d’Aucoin, Gooch est venu le voir dans sa cabine plus tard en réponse. sur invitation de Aucoin. Mais les deux hommes racontent leurs souvenirs de ce qui s’est passé. pened pourrait être confus. En tout cas, Gooch aussi était inquiet. Joey “a probablement vu sur mon visage, dit-il. “Mon père [un pilote de l’armée de l’air] était au Vietnam…. Il a beaucoup perdu des amis là-bas. Dans la guerre du Golfe… un certain nombre de personnes ne sont pas revenues. je regarde autour de la salle d’attente, et les gens… ne le prenaient pas aussi sérieusement qu’ils le devraient. Peut-être que je le prenais trop au sérieux. Mais je voulais juste m’assurer que ma maison était en ordre et que je savais dans quoi je m’embarquais. Je vous laisse le lien vers le site spécialiste du vol en avion de chasse.

Un mariage à Phoenix

Phoenix a un certain nombre de lieux romantiques partout, pour un homme désespérément amoureux à proposer à sa future mariée. Si vous cherchez à proposer à votre charmante femme, vous pouvez choisir parmi l’un des différents endroits suggérés ci-dessous. Scottsdale Gondola Ride Le Hyatt Regency Resort de Scottsdale, situé à Gainey Ranch, offre une promenade en gondole vraiment soignée. Cette balade romantique sur les voies navigables du ranch peut être une expérience mémorable. Il y aurait une troisième personne dans la gondole, effectuant des tâches de navigation, bien sûr. Pour beaucoup, cela pourrait être gênant. Quoi qu’il en soit, le trajet dure environ dix à quinze minutes. Vous devez donc répéter et vous préparer avec vos propositions de lignes bien préparées. Le coût du trajet n’est que de 10 $ par personne. Cependant, le trajet est gratuit lorsque vous dînez au restaurant Alto. Prenez de la hauteur Un tour privé en montgolfière, flottant au-dessus du ciel de Phoenix, peut également être un excellent endroit à proposer. Comme les vols en montgolfière se font juste après l’aube ou avant le crépuscule, les couleurs du ciel peuvent rendre l’atmosphère plutôt romantique. Avec un ciel brillamment peint comme toile de fond combiné au silence de l’aube ou du crépuscule, vous pouvez dire ces mots magiques en toute confiance et commencer la relation de vos rêves. Bien sûr, il y a toujours une personne dans le panier avec vous, qui navigue dans le ballon et pour beaucoup, cela peut être gênant. Mais si elle vous dit non, le navigateur peut être utile pour empêcher que quelqu’un soit jeté à la mer. Faites une randonnée Vous ne devez pas dépenser beaucoup d’argent et emmenez votre futur partenaire de vie dans un restaurant coûteux pour vous proposer. Vous pourriez faire une randonnée à travers certains des incroyablement beaux terrains de Phoenix pour cette sensation romantique spéciale. Avec les oiseaux qui chantonnent en arrière-plan, l’air qui souffle doucement sur votre visage et l’odeur des différentes fleurs sauvages de la forêt qui traversent les airs, ce pourrait être l’un des décors les plus romantiques de votre proposition. Top of the Rock Situé dans le Buttes Resort, le Top of the Rock est l’un des meilleurs restaurants de la vallée. Il offre également une vue spectaculaire, ce qui rend le cadre extrêmement romantique au lever et au coucher du soleil. Le restaurant a également été élu comme l’un des restaurants les plus romantiques de la région. Prenez un bon repas et proposez dans cet environnement magnifique. Les jardins botaniques du désert Quel meilleur endroit à proposer que dans les jardins botaniques du désert. Avec un large éventail de belles plantes, de fleurs colorées et de beaux paysages, les jardins botaniques du désert sont un endroit merveilleux pour passer une soirée romantique. La beauté unique des jardins est un endroit idéal pour professer votre amour.

Cuisiner à Marrakech

Mes amis n’en croient pas leurs yeux : depuis peu, je me mets en effet à la cuisine. Et moi qui ai toujours refusé de préparer quelque chose de plus sophistiqué que des pâtes carbos, je me mets à faire mes propres pâtes et tartes ! Il y a quelques jours, j’ai même franchi une nouvelle étape : j’ai carrément suivi un cours de cuisine à Marrakech !
C’était une première, mais au final, j’ai beaucoup aimé : l’ambiance y était franchement accueillante. En outre, à ma grande surprise, j’ai suivi sans trop de difficulté (ce qui n’est pas gagné, lorsqu’on a de grosses lacunes techniques aux fourneaux !). J’ai eu de la chance. Jétais persuadé que j’allais côtoyer des personnes ayant une longue expérience culinaire, mais pour finir, les participants étaient d’horizons très variés. Quelques-uns étaient de véritables cordons bleus, et d’autres étaient presque comme moi : des Cotorep culinaires. Ce caractère disparate aurait pu être un sérieux problème, mais curieusement, c’est le contraire qui s’est passé : les plus experts n’hésitaient pas à assister les cancres et à leur indiquer comment faire à chaque étape. Je ne sais pas si ça se passe toujours comme ça, mais je suis convaincu que l’attitude du chef a pas mal contribué à cette confiance qui régnait dans le groupe : il faisait preuve d’enthousiasme à chaque instant et nous invitait à bosser ensemble. Certes, parfois j’avais le sentiment que nous étions des mômes que l’instit’ congratulait pour nos créations en bâtonnets d’esquimaux ; mais c’était assez agréable, à vrai dire !
Pour être parfaitement honnête, je ne crois pas que je vais reprendre à la maison les assiettes que j’ai apprises à cuisiner à l’occasion de ce cours : elles étaient plutôt difficiles à confectionner sans aide, et puis, je ne m’imagine pas cuisiner plus d’une heure par jour ! Mais j’ai quand même noté quelques techniques très efficaces qui font que je suis nettement moins désastreux qu’avant ce cours.
Bref, si vous êtes comme moi un Buster Keaton aux fourneaux et voudriez changer, je vous recommande l’aventure : les cours de cuisine sont vraiment idéaux pour acquérir les bons gestes ! Vous trouverez toutes les informations nécessaires sur ce site. En savoir plus en suivant le lien sur le site de l’organisateur de ce atelier de cuisine à Marrakech.

Renouveler le parc de commerces en Île-de-France en améliorant sa qualité et sa durabilité

En dépit de la stagnation de la consommation et du développement de la vente en ligne, le parc de commerces francilien a connu une forte progression au cours des dernières années, générant une concurrence exacerbée entre pôles commerciaux. Pourtant, la croissance démographique de certains territoires, la transformation de la distribution et l’évolution des concepts commerciaux (drive, commerces d’itinéraires, retailtainment) rendent nécessaires le renouvellement d’une partie du parc de commerces. Le commerce reste un gros consommateur de foncier en Île-de-France. Les densités du bâti commercial sont faibles : un commerce de 100 000 m² de surface de vente consomme en moyenne, en Île-de-France, 4,6 ha de terrain, occupé pour plus du quart par les parkings, très majoritairement déployés en surface. Une partie significative de la croissance du parc se fait encore sur des espaces non urbanisés, principalement en grande couronne, et particulièrement en Seine-et-Marne. À défaut d’une planification à une échelle adaptée, les décisions d’ouvertures, arbitrées au niveau départemental dans le cadre des commissions départementales d’aménagement (CDAC), sont prises trop souvent sans mesurer leur impact sur le tissu commercial existant. De plus, les emplois occupés dans ces nouveaux équipements résultent souvent de transferts d’emplois existants depuis d’autres espaces commerciaux. Enfin, le commerce est encore insuffisamment associé à d’autres fonctions urbaines, et fréquemment localisé dans des zones d’activités uniquement accessibles en voiture. Les voies d’amélioration sont, comme le préconise le Sdrif, la réalisation d’espaces commerciaux plus durables, localisés près des consommateurs, économes en foncier et mieux accessibles en transport en commun au sein d’opérations mixtes. Une planification plus concertée entre les territoires doit être mise en œuvre.

Le Président Trump défend Google

Le leader américain Donald Trump a critiqué mercredi le niveau occidental de la sélection de la concurrence à 5 milliards de yuans mercredi, exprimant que l’UE a expérimenté « une bonne chose sur les Etats-Unis » Il a écrit jeudi sur Youtube: « Je vous ai informé! un bien de 5 milliards de dollars sur l’une de nos merveilleuses entreprises, Google, qui ont vraiment profité des États-Unis, mais pas trop longtemps! Trump semblait utiliser le bien antitrust comme un outil dans le conflit de l’industrie en cours avec le Western Union. Mercredi, il est vulnérable « rétribution incroyable » contre l’UE, sauf quand le bloc croit aux grandes concessions de l’industrie. Il est corrélé avec la détermination du Commissaire à la concurrence de l’Ouest à de grands moteurs de recherche la plus grande sanction antitrust nivelé sur une seule entreprise, plus que son abus de la proéminente plate-forme cellulaire Google android. Margrethe Vestager déclaré moteurs de recherche expérimentés utilisé son logiciel mobile préféré pour sauvegarder sa position de recherche. La recherche a débuté en 2015, avant de faire la cour à la présidence de Trump de plus de 12 mois, et ce n’est pas tout de suite lié à l’achat et à la vente entre les États-Unis et l’Union européenne. Vestager a été interrogé sur Trump mercredi, étant donné le cadre d’anxiété croissante entre votre UE et les États-Unis. Un journaliste a cité Trump, qui a déclaré au président de Western Payment, Jean-Claude Juncker, lors de la réunion du G7 le mois dernier: « Votre femme fiscaliste déteste les Etats-Unis. » Vestager plaisantait à quel point le document était juste à moitié vrai. « Je travaille vraiment ensemble avec l’impôt sur le revenu et je suis une fille dans l’ordre qui est tout à fait approprié », a-t-elle déclaré, mais en plus: « Je ressemble à l’Amérique ». Trump intensifie sa rhétorique contre le syndicat, décrivant l’UE comme un «ennemi» de vos États-Unis. Trump a imposé des tarifs douaniers sur l’acier et l’aluminium importés de votre UE, et envisage également de les étendre pour impliquer les voitures. Le leader est le résultat d’entretiens avec le directeur général de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, avec la Résidence de couleur blanche après ces quelques jours, où il pourrait choisir de parler du bien de Yahoo une fois de plus.

5ème Conférence d’Oxford

Dans le cadre de mon travail, j’assiste à un congrès presque tous les mois. Et si j’apprécie ces déplacements (qui sont comme des bouffées d’air frais entre deux dossiers compliqués à gérer), j’ai aussi appris qu’il valait mieux ne pas y faire n’importe quoi.
Il y a peu, j’ai en effet suivi un congrès à Oxford. C’était là le premier congrès auquel participait une collègue nouvellement embauchée. Et cette personne a vite compris qu’elle avait commis un douloureux impair lors de ce séjour. Un impair en apparence banal : lors du repas, elle a simplement refusé de grimper sur sa chaise pour pousser la chansonnette. D’abord encouragée, elle s’est finalement faite huer par tout le monde. Cela aurait pu en rester là. Sauf que ce n’est pas ce qui est arrivé. Car en refusant de chanter, debout devant tout le monde, elle s’est attachée une étiquette de peigne-cul qui lui collera sans doute longtemps à la peau.
S’il y a bien un truc que l’expérience m’a appris, c’est qu’il ne faut jamais éviter de participer aux divertissements proposés lors des congrès. Il est important de participer aux jeux pour faire partie du groupe. Et ce, même lorsqu’on se sent un peu ridicule. C’est à ce prix qu’on peut s’intégrer dans l’équipe. Celui qui résiste ressort immédiatement négativement, et cela donne aux autres le sentiment que la personne se considère comme supérieure aux autres.
Et s’il faut s’amuser avec les autres, il faut aussi savoir rester raisonnable, et notamment toujours faire attention à sa consommation d’alcool. Je me souviens d’un collègue qui, lors d’un congrès, a abusé de l’openbar, au point qu’il a fallu le porter jusqu’à son lit. Eh bien, le souvenir de cette soirée l’a poursuivi longtemps. En dépit du travail remarquable qu’il fournissait, il est resté aux yeux de tous après cette soirée le mec qui s’est endormi, la tête sur l’épaule de son PDG !
De manière générale, ce qu’il faut bien comprendre, c’est que dans un séminaire, l’ambiance est semblable à celle d’un petit village : il y a toujours un idiot du village sur lequel les gens aiment casser du sucre sur le dos. Il faut juste s’assurer de ne pas endosser ce rôle par un comportement trop coincé ou trop relâché !
Ceci étant posé, quand on est conscient de ces codes, il est possible de profiter pleinement du voyage. J’ai d’ailleurs bien apprécié ce congrès, en dépit des vocalises que j’ai dû y faire, debout sur ma chaise ! En savoir plus en suivant le lien sur le site du spécialiste reconnu de l’organisation de séminaire en Angleterre.

Économie collaborative, économie du partage : quels enjeux pour demain ?

Les activités dites de « l’économie collaborative » ou « économie du partage » (sharing economy) se développent à grande vitesse, avec un chiffre d’affaires mondial qui pourrait passer de 15 milliards de dollars en 2013 à 235 milliards à l’horizon 2025. En 2014, 70 % des internautes français, soit environ 31 millions de personnes, ont déjà acheté ou vendu sur des sites de mise en relation de particuliers, 19 % ont déjà utilisé un site de réservation d’hébergement et 14 % un site de covoiturage. Près de 5 millions de voyageurs ont séjourné dans un logement loué sur Airbnb en France depuis la création du site, dont la moitié depuis le début de l’année 2015. L’application de covoiturage Blablacar compte 8 millions de membres en France et 20 millions d’utilisateurs dans le monde. Avant sa suspension, le service UberPop comptait 10 000 conducteurs inscrits (dont 4 000 actifs la semaine précédente), et 500 000 utilisateurs réguliers. Selon une enquête du Crédoc, 15 % de la population déclare avoir recours à des particuliers pour l’usage d’un service ou d’un bien contre rémunération sur internet et 8 % déclare proposer ses biens ou services à des particuliers. 5 % de la population réalise ces activités sans rémunération. De manière générale, l’économie du partage est davantage utilisée par les moins de 40 ans, les diplômés du supérieur, les cadres ou professions intermédiaires, notamment à Paris ou dans son agglomération. Ainsi, 5,2 % de la population française tire plus de 50 % de son revenu de la consommation collaborative, mais cette proportion atteint 12 % parmi les jeunes (25-34 ans). À ce jour, les structures relevant directement de la consommation collaborative en France représentent environ 3 000 emplois (l’estimation majorée est de 6 000 emplois), dont 1 000 emplois à temps plein. Les deux tiers des structures sont situées en Île-de-France. Ces activités suscitent néanmoins de vifs débats, sur leurs effets économiques, environnementaux et surtout sociaux. Construites autour de l’échange, du partage ou de la vente entre particuliers de biens, de capitaux, de services, voire de symboles, elles recouvrent des réalités très diverses.